Une demi-douzaine * de genres d'arbrisseaux, arbres ou plantes, fournissent à nos jardins les fleurs les plus richement partagées dit coté de l'éclat, de la dimension et du coloris. Magnoliers, Pivoines, Rosiers, Pavots, Tulipes et Lis, et finalement Nénuphars, rivalisent par la magnificence de leur floraison et de leur duplicature. De ces fleurs superbes, en placerons-nous une au premier rang, une au second, une, enfin, au dernier? A Dieu ne plaise, ce serait oeuvre puérile; disons seulement que les Lis d'eau ou Nymphaea ont longtemps régné sans rivaux, puisque, par un exception presque unique, ces magnifiques végétaux sont naturellement doubles à l'état spontané, soit dans l'Ancien ou le Nouveau-Monde, et qu'on a toujours pu en trouver dans les lacs et rivières des pépinières inépuisables. Cette exception bien curieuse aux lois naturelles qui semblent n'admettre dans les espèces livrées à elles-mêmes des phénomènes de duplicature que comme une manifestation accidentelle et anormale, parait se justifier ici par des considérations toutes particulières, mais dont l'examen nous écarterait trop de notre sujet. Les Nymphaea sauvages, si parfaits qu'ils soient, en général, présentent pourtant des différences appréciables dans leurs dimensions, la pureté on l'uniformité de leur coloris. Quelques sujets peuvent offrir spontanément des variations considérables. Le fait est rare, et cela s'explique, puisque les conditions d'habitat sont plus uniformes pour les plantes aquatiques que pour les autres, mais enfin il se produit parfois, et, depuis une vingtaine d'années, deux. variétés superbes, l'une trouvée en Europe, l'autre en Amérique, sont venues donner un intérêt tout nouveau à la culture des Nymphaea en dotant les aquariums de deux Lis d'eau trés-rustiques et d'un beau coloris rose. Vers la mème époque, on trouvait, ou plutót on retrouvait, en Floride, une espèce à fleurs jaunes, coloris nouveau parmi ceux des climats tempérés, et ces nouveaux éléments permettaient de renouveler et d'enrichir la décoration des pièces d'eau; ils permettaient encore de tenter des hybridations pleines d'intérêt et riches en promesses, d'entrevoir de nouvelles conquêtes. On sait que cet espoir n'a pas été déçu. Les visiteurs, à l'Exposition, ont pu admirer, au Trocadéro, de splendides collections de Nymphaea exposées par MM. Latour-Marliac, Lagrange, Croux, Armand Gontier, etc., et se faire une idée de la richesse actuelle de ce beau genre. Je n'entreprendrai point de faire une description complète des espèces anciennes et des variétés nouvelles que l'on peut cultiver à l'air libre; je me bornerai à une description sommaire des meilleures d'entre elles; mon expérience, remontant déjà assez loin, me permettra de donner sur leur culture et leur mode de végétation des détails propres, je l'espère, à intéresser les amateurs; puissent ceux-ci être nombreux et faire à leur tour des prosélytes! De simples notes n'ont pas besoin de plan d'exposition méthodique; je les diviserai cependant en trois parties: une revue des espèces et de leurs variétés spontanées, une description des variétés horticoles obtenues de semis, puis des indications de culture générale. Nénuphar blanc (Nymphaea alba). - Cette belle plante est trop connue pour que j'insistesur sa description; elle reviendra d'ailleurs souvent dans ces notes, parce qu'elle servira de comparaison aux autres espèces. La floraison commence de bonne heure, vers la fin d'avril, et se soutient tout l'été avec une abondance moyenne; elle est plus belle et plus ample quand la plante vit sous une couche d'eau profonde de 4 et mème 5 pieds. Le rhizome, gros, se ramifie assez abondamment, et la multiplication par division est facile. La plante graine assez bien, et les semis sont praticables. Elle vit bien en bassin à fond recouvert d'un pied de terre et passablement en panier.
moindre degré dans la température de l'eau pour donner ses plus belles fleurs. Elle recherche des eaux profondes, pures, fraîches. Sa floraison est dans tout son éclat vers la seconde quinzaine de mai. Ses fleurs atteignent alors une dimension un peu moindre que celles du N. alba, mais elles sont plus largement ouvertes. Le coloris rose carminé intense, qui caractérise les 4 ou 8 pétales intérieurs, s'étend, à cette date, sur presque tous, laissant toutefois les extérieurs un peu plus pâles. Cet éclat de floraison en présage la fin à bref délai, surtout si la. saison est chaude et si l'aquarium ne reçoit pas d'eau courante. Les dernières fleurs paraissent au milieu de juin, dans ces conditions. La souche est très-grosse, elle s'allonge assez lentement. Il n'est pas tout à fait exact de dire qu'elle ne donne jamais de bourgeons latéraux et ne peut dès lors se multiplier d'éclats, mais ces bourgeons sont excessivement rares; en douze ans, un très-fort pied ne m'en a donné que deux. Le Nymphaea Caspary est celui de tous qui graine le mieux et l'absence de drageonnement devait d'ailleurs le faire supposer; j'ai pu, à plusieurs reprises, faire parvenir des graines parfaitement mûres à des amateurs de plantes d'eau. Le semis produira peut-être des variétés encore supérieures comme coloris. N. pygmaea de la Chine. - J'en ai cultivé quelques années, puis perdu quelques pieds, que je n'ai pas remplacés. Je suis donc tenu à la prudence en donnant des conseils de culture. Originaire d'un climat très-chaud en été, la plante vit bien dans un bassin ou aquarium ou l'eau s'échauffe assez fortement. Cette jolie petite plante n'a que 4 pétales blancs, bien marqués, en dehors des pièces calycinales et du filet élargi des étamines. La fleur atteint à peine 4 centimètres de diamètre; elle a été décrite fréquemment. N. tuberosa. - Originaire du lac Supérieur et du nord des Etats-Unis, ce Nymphaea est très-rustique, très-beau et très-florifère; son habitat naturel est très-restreint, et c'est peut-être pour cette cause qu'il est si peu connu. Il fleurit dés la fin d'avril, aussitôt que le Nymphaea blanc. Sa fleur est aussi grande, aussi pleine, et plus largement ouverte, à pétales plus fermes et plus larges; alors que ceux de l'alba dépassent rarement 2 centimètres, ceux du tuberosa atteignent 3 1/2 ou 4 centimètres de largeur. Ceux de l'intérieur, qui s'atténuent en filets élargis d'étamines, présentent une belle teinte jaune d'or vive au lieu d'un coloris jaune pâle. Ces fleurs se succèdent pendant toute la saison avec plus d'abondance que chez le N. alba. La souche est très-curieuse; elle ne se compose pas d'un corps allongé et ramifié, mais forme une masse où les bourgeons, très-nombreux, agglomérés et peu distincts, nourrissent une forte masse charnue qui peut acquérir un pied de diamètre. La division n'en est pas moins assez facile ; j'ai beaucoup multiplié cette espèce sans que le pied mère ait souffert des amputations. Ce Nymphaea vit très-bien dans une profondeur variant de 2 à 6 pieds d'eau; les feuilles, très-abondantes, se trouvant pressées par suite du nombre et de la proximité des bourgeons, sont à demi soulevées au-dessus de l'eau; les fleurs sont presque toujours émergées et portées à 5 ou 10 centimètres au-dessus de la surface de l'eau. Comme chez le N. alba, le revers des pétales extérieurs est parfois un peu lavé de rose, le calice est d'un vert plus franc. Je n'ai pas observé, chez moi, la formation de fruits, mais il est probable qu'il s'en forme, et que la graine mûrit facilement. N. odorata, Aiton. - Lis d'eau des Etats-Unis. Cette espèce se trouve très-abondamment dans toutes les eaux stagnantes ou peu courantes des Etats-Unis. Elle poséde une odeur presque agréable, en comparaison de l'odeur fade et d'ailleurs trés-faible des espèces précédentes. Le Nymphaea odorant ne commence à fleurir qu'en juin et lorsque l'eau s'est assez fortement échauffée; il est tout à fait rustique et fleurit abondamment et continuellement; le plus beau moment de la floraison est le fort de l'été. Les souches sont relativement, très-minces, elles se ramifient continuellement; la multiplication par éclats est facile et très-prompte. J'ai vainement cherché des graines fertiles sur les plantes que je cultive, soit en bassin, soit en plein étang.
Cette plante présente des caractères très-franchés; elle n'est pas franchement rhizomateuse, mais donne, à partir d'une plante mère, à racines fibreuses accompagnées de racines courtes et renflées, des coulants assez longs qui vont s'enraciner plus loin, à la façon des Fraisiers, formant un nouveau groupe de racines, feuilles et fleurs; en un mot, de nouvelles plantes distinctes. Les feuilles sont relativement petites, ovales, 1égèrement acuminées, sensiblement dentées, vert foncé, marbrées de rouge-brun, pourpres et rouges en dessous; elles couvrent la surface de l'eau sur une petite étendue sans interruption ; les fleurs sont de dimensions moyennes, soit de 10 centimètres de diamètre, à pétales nombreux, larges de 1 centimètre 1/2 au plus à la base, aigus au sommet. Cette plante demande la pleine terre et parait mal s'accommoder de la culture en bassin. J'ai du moins mat réussi dans un aquarium à fond garni de terre; il faut immerger peu à peu les plantes jusqu'à 2 pieds environ, et le plus sûr serait encore peut-être d'en garder quelques pieds en serre. Somme toute, ce n'est pas une espèce de culture très-facile, et nous pensons que les nouveaux hybrides à fleurs jaunes lui seront préférés pour la décoration des pièces d'eau. Les variétés dont la nomenclature va suivre sont dues aux semis du spécialiste bien connu, M. Latour-Marliac, de Temple-sur-Lot. Cet habile horticulteur est entré, suivant nous, dans une voie féconde, en subordonnant la recherche des nouvelles variétés du Nelumbium, plante qui ne peut intéresser qu'une partie du territoire français, aux semis de Nymphaea, plantes bien autrement rustiques, faciles de culture, et dont les variétés et espèces nouvellement introduites apportaient de nombreux éléments aux essais de croisement. Les variétés obtenues sont-elles des hybrides? De quel croisement proviennent elles? Cela est le secret de l'obtenteur, et s'il lui convient de le garder, nul ne peut lui en contester le droit. J'ai plusieurs fois entendu attribuer l'obtention de certaines des variétés nouvelles de M. Latour-Merliac à de simples variations de semis, ne dépassant pas l'amplitude du jeu naturel d'une espèce dépaysée. Je ne peux accepter cette hypothèse, car plusieurs plantes me paraissent réunir des caractères de racines, feuilles, fleurs et végétation communes à deux espèces distinctes; je pense que l'obtenteur a fait des croisements volontaires, parfaitement réfléchis et judicieux. Pour certaines plantes, la. filiation semble assez facile à découvrir; mais n'oublions pas que la recherche de la paternité est toujours interdite, et passions à la nomenclature. Nymphaea Marliacea Chromatella. - Cette superbe variété est l'une des plus remarquables de la série. Les souches sont assez grosses, les feuilles abondantes, rouge pourpré en dessous; la fleur, très-grande, bien ouverte, à pétales larges, couleur jaune soufre et à étamine jaune d'or, atteint 15 centimètres de diamètre, elle est flottante; les feuilles, très-grandes, dégagent cependant la surface de l'eau en laissant la fleur flotter librement. La floraison commence en juin et se poursuit tout l'été assez abondante. N. Marliacea carnea. - N. Marliacea rosea. - Ces deux plantes présentent les plus grandes fleurs de toute la série, elles atteignent 18 centimètres et sont plus pâles dans la première que dans la seconde, comme l'indique suffisamment leur nom. Le Marliacea albida, à très-grandes fleurs blanches, dont les pétales intérieurs sont plus courts et le centre coloré de jaune vif, est une superbe variété. N. odorata rosacea. - Feuilles très-abondantes, de dimensions moyennes; grandes fleurs rose tendre, floraison abondante. N. odorata exquisita. - Magnifique variété
nouvelle, plus ample dans toutes ses parties que le N. odorata
type ; le coloris des fleurs est d'un rose encore plus soutenu;
le revers des feuilles est coloré d'une couleur pourpre
encore plus accentuée. Ce sera une des plus belles plantes
de la série hybride.
Celle série déjà si remarquable d'hybrides va sans doute s'augmenter chaque année de nouveaux gains, à mesure que les semis de M. Latour-Marliac ou de ses imitateurs arriveront à l'état adulte et montreront leurs fleurs. Ce n'est pas cependant dès la première année de floraison que le mérite d'une variété peut se juger complètement; à tous les autres mérites un Nymphaea doit joindre, pour avoir un avenir horticole, la facilité de la multiplication. Quelques semis remarquables sont parfois dénués de la faculté d'émettre des bourgeons latéraux. Ils restent alors à l'état d'exemplaires presque uniques. Tel est le cas de ce beau Nymphaea Laydekeri à fleurs carmin et à anthères et étamines orangés, qui donne avec une abondance inépuisable ses fleurs à odeur de Pèche. Cette variété, à qui manque le seul mérite du drageonnement, deviendra, nous l'espérons, un précieux porte-graines entre les mains de son obtenteur **. Culture des Nymphaea. - La culture la plus simple est la meilleure; elle consiste à immerger un fragment de tige muni d'un ou plusieurs bourgeons dans une pièce d'eau profonde de deux à trois pieds (ou plus pour quelques espèces) et à fonds vaseux ou argileux. Les racines longues peuvent être retenues dans une petite bourriche lâche, aussi consommée que possible, en laissant sortir la tète du bourgeon sur 5 à 6 centimètres; des racines existent très-près de l'extrémité de celul-ci, il faut les laisser libres, elles ne tarderont pas à s'allonger et à se fixer dans le sol naturel. La plantation doit se faire seulement en mai, excepté pour les variétés les plus hâtives. On peut planter tout l'été, mais je pense qu'il y a avantage pour la bonne installation des plantes à le faire dans la première partie de l'année. Les Nymphaea plantés en pleine terre sont plus développés, plus florifères et même un peu plus précoces que ceux tenus en aquariums. Ils luttent avec succès contre la végétation herbacée naturelle des eaux,. mais il faut les protéger des racines des Scirpus et Typha si leur station n'est pas très-profonde. Les fonds argileux leur semblent très-favorables; l'eau peut être courante ou stagnante, à hauteur fixe ou varier de 1 ou 2 pieds dans son niveau sans que la végétation en soit troublée. A défaut de pièces d'eau ou le fond soit formé par le sol mème, on peut avantageusement cultiver le Nymphaea dans des bassins profonds de 4 à 5 pieds et dont le fond est couvert d'une couche de 1 pied d'une couche argileuse, riche et compacte. Cette terre étant mouillée, on peut planter en engageant les racines anciennes dans le sol et recouvrir celui-ci de 2 à 3 centimètres de sable de rivière; on admet alors l'eau lentement et l'on en porte la couche jusqu'à un mère; les plantes développent en même temps leur feuillage. Enfin, à défaut d'installation spéciale, il ne faut point renoncer à la culture des Nymphaea. M. Latour-Marliac dit spirituellement que ces plantes, comme Diogène, savent se contenter d'un tonneau pour toute habitation. Cela est vrai, et mème elles savent s'accommoder d'un demi-tonneau enfoncé dans le sol et à demi-plein de terre et d'eau. Ce logement économique peut être enfoncé au ras du sol dans les pelouses. Les feuilles et fleurs des Nymphaea paraissent alors au niveau du gazon et semblent appartenir à la flore terrestre. En dernier lieu, je mettrai la culture en panier, an fond d'un bassin non pourvu de terre. Les bourgeons et leurs racines nouvelles sortent du panier et s'allongent sans trouver de nourriture. Quant à la plantation, j'ai indiqué les soins que l'on peut prendre dans une installation spéciale. Mais les plantes d'eau sont si robustes qu'elles peuvent être plantées d'une façon bien plus sommaire. En liant à une pierre un fragment de bourgeon et jetant le tout à l'eau, ou réussit presque à coup sûr à implanter un Nymphaea dans un étang. Dans les bassins, la pureté de l'eau sera maintenue en introduisant de très-petits poissons dont la taille ne doit pas dépasser celle des cyprins ou poissons rouges. Ceux-ci recherchent déjà la graine des Nymphaea; il faut veiller sur les fruits et les recueillir dés qu'ils s'écrasent sous une faible pression. Les graines mûres peuvent se garder à sec un temps assez long. Les semis lèvent généralement bien; les petites plantes se repiquent sans difficulté. On ne peut dire pourtant que l'élevage soit facile, car il faut pendant plus d'un an veiller à la propreté de la faible couche d'eau qui les recouvre, augmenter celle-ci, espacer les petits plants, etc. Dans l'aquarium, un des grands ennemis des jeunes semis est la grenouille; elle se pose sur les pots faiblement immergées, y creuse souvent la terre et brise les jeunes plantes; il vaut mieux élever celles-ci dans des baquets contenant un peu de charbon de bois pilé et tenus en Orangerie. On sait que les fleurs de Nymphaea s'ouvrent-tard. Les hybrides ouvrent leurs fleurs au plus tôt à 8 heures jusqu'à 5 heures du soir. Si le temps est sombre, les fleurs se ferment dès le milieu de l'après-midi. Le flava, l'odorata, ne s'ouvrent qu'au milieu du jour. La fécondation des fleurs s'opère à partir du deuxième jour de leur épanouissement. Si l'on veut les croiser, il sera bon d'enlever les anthères dès le premier jour, d'emprisonner les fleurs sous un voile d'étoffe et d'apporter le pollen, le lendemain, par un beau temps sec. Les espèces et variétés nommées ci-dessus, et toutes rustiques, ne comprennent que les coloris blancs, rouges et jaunes avec leurs nuances dérivées. La couleur bleue se rencontre chez une belle espèce de l'Afrique méridionale, le N. scutifolia; des plantes gardées l'hiver en serre peuvent être mises en été dans des eaux non courantes et y fleurir assez bien si elles s'échauffent. Aucune hybridation entre des plants de cette section, qui comprend encore le N. Lotus et le zanzibarensis et les espèces citées plus haut, n'a encore réussi, à ma connaissance. Dans les climats tempérés, il n'existe, je crois, que deux Nymphaea en dehors de ceux que j'ai cités; ce sont le N. nitida, de Sibérie, à fleurs blanches, d'une moindre valeur ornementale que le Nénuphar blanc et le N. tetragona du Japon. Celui-ci, fort intéressant au point de vue botanique, n'a point un coloris très-brillant; ses pétales étroits sont d'un rouge brun assez terne, et je ne peux affirmer qu'il ait été cultivé en Europe; le grand nombre de belles plantes contenu dans le genre rend les amateurs plus difficiles que par le passé. Qui peut dire pourtant s'il ne viendra pas concourir à la formation d'un type nouveau à pétales étroits, comparable par exemple an Magnolia stellata parmi les espèces à fleurs arrondies? Maurice-L. De Vilmorin. * Voir Revue horticole, 1882, p. 108, fig. 35; 1888, p. 372. ** Cette attente s'est réalisée et le N. Marliacea rubra punctata sera prochainement édité. Il est issu da Ladeykeri, mais celui-ci a été le parent mâle. Water Gardening's History Index |